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Génocide arménien

La semaine dernière, Thomas Friedman du New York Times a interviewé le président Obama à propos de la doctrine Obama. Après deux semaines de regarder le président apaiser les Iraniens puis publiquement légitimer dictateur Raúl Castro - tout en continuant à attaquer dirigeant démocratiquement élu Benyamin Netanyahu d'Israël - nous pourrions définir la doctrine Obama ainsi: un refus catégorique à repoussée par le mal.

Il semble y avoir presque pas de dictateur sur la terre que le président punira pour leur cruauté à leur propre peuple, pas autocrate à qui il ne atteindra pas dans la croyance naïve que sa reconnaissance va changer leur comportement. Un cas puissante au point de le refus du président d'identifier le mal est sa promesse de reconnaître le génocide arménien, le 100 e anniversaire de qui est ce mois-ci.

Dimanche dernier, François a montré courage moral appelant ouvertement pour la reconnaissance de «le premier génocide du XXe siècle." La Turquie, dirigée par le dictateur de plus en plus brutale, Recep Tayyip Erdogan, a immédiatement rappelé son ambassadeur, comme il sied à un tyran. Pourquoi pas le président Obama à reconnaître le génocide, surtout depuis qu'il a promis en tant que candidat à la présidentielle qu'il le ferait?

Chef Washington le correspondant de CNN Jake Tapper capturé l'échec du président succinctement: "Pour la sixième année consécutive le président Barack Obama a rompu sa promesse de la communauté arménienne, fait lorsqu'on cherche à obtenir leurs votes en tant que sénateur et candidat à la présidentielle, d'utiliser le mot" génocide »pour décrire le massacre d'environ 1,5 million d'Arméniens aux mains de l'Empire ottoman il ya un siècle. Il l'a fait par respect pour le gouvernement de la Turquie, qui - révisionnisme historique côté - l'administration Obama considère comme un allié plus cruciale ".

Le président Obama ne sera pas reconnaître le génocide du peuple arménien de peur de provoquer le tyran turque.

Ce est en Janvier 2008 que puis-sénateur Barack Obama a déclaré: «Il ya deux ans, je ai critiqué le secrétaire d'État pour la cuisson de l'ambassadeur américain en Arménie, John Evans , après avoir bien utilisé le terme «génocide» pour décrire la Turquie massacre de milliers d'Arméniens à partir de 1915. Je ai partagé avec la secrétaire Rice mes fermement maintenu conviction que le génocide arménien ne est pas une allégation, une opinion personnelle, ou un point de vue, mais plutôt un fait largement documenté soutenu par un organisme écrasante des historiques preuves. Les faits sont indéniables. Une politique officielle qui appelle les diplomates à déformer les faits historiques est une politique intenable. En tant que sénateur, je soutiens fermement l'adoption de la Résolution sur le génocide arménien (H.Res.106 et S.Res.106), et en tant que Président je vais reconnaître le génocide arménien "

Il ne va pas beaucoup plus clair. Emphatique promesse du président qu'il serait reconnaître le génocide arménien a été suivie par six années de promesses non tenues et l'obscurcissement.

Mais, la meilleure partie est la suivante: le président Obama ne sera même pas reconnaître avoir rompu son engagement. Au contraire, il fait culbutes verbales pour montrer qu'il a honoré, comme il l'a fait en Avril 2009: "Je ai toujours dit ma propre vision de ce qui est arrivé en 1915, et de mon point de vue que l'histoire n'a pas changé. Mon intérêt reste la réalisation d'un accusé complète, franche et juste des faits ".

Et pourtant, tout ce qu'il faudrait reconnaître ces «faits» est d'utiliser simplement le mot «génocide» pour décrire le massacre arménien. Juste un discours présidentiel avec le mot génocide ferait. Mais Obama refuse obstinément de le faire.

Le président Obama a dit plus tard: «En ce jour solennel du souvenir, nous nous arrêtons pour rappeler qu'il ya 95 années l'une des pires atrocités du 20e siècle a commencé. Dans ce moment sombre de l'histoire, 1,5 million d'Arméniens ont été massacrés ou ont marché à la mort dans les derniers jours de l'Empire ottoman ".

Nous entendons le mot Nous entendons les mots Mais encore, il ne l'appelons ce qu'il était et ce qu'il a promis de reconnaître "massacre." "Ont défilé à leur mort.": Génocide.

«Ce est un spectacle triste de voir notre président", a déclaré Comité National Arménien d'Amérique directeur exécutif Aram Hamparian, "qui est entré en fonction après avoir promis de reconnaître le génocide arménien, réduit à l'application de gag-règle d'un gouvernement étranger sur ce que notre pays peut dire au sujet d'un génocide donc très bien documentée dans les archives de notre propre nation. Nous restons profondément déçus qu'il a, une fois de plus, se retirèrent de ses propres promesses et en deçà de la position de principe prise par les présidents précédents ".

Mais Hamparian ne devrait pas être surpris. Une incapacité à appeler le mal a été la marque de cette présidence. De la récente visite du Président de l'Arabie saoudite où il n'a fait aucune mention de vastes violations des droits de de l'homme du royaume, à sa réconciliation avec Cuba sans aucune demande d'arrêter l'grotesque persécution de dissidents politiques, de fermer les yeux à la destruction d'Erdogan de Turquie la démocratie, de refuser d'appliquer sa ligne rouge contre la Syrie lors Assad gazé enfants arabes -Président Obama est le leader par excellence qui entend pas mal et ne voit pas de mal.

La grande question du refus d'Obama de reconnaître le génocide arménien est la façon dont ce siège avec l'ambassadeur américain à l'alimentation des Nations Unies Samantha. Je ai offert un soutien public important à Samantha pour le poste d'ambassadeur quand elle a été assailli par les dirigeants juifs américains pour être anti-Israël, et je l'ai fait à cause de mon respect pour elle comme une des plus fortes voix du monde contre le génocide. Samantha a remporté le prix Pulitzer pour son livre 2002 A Problem from Hell où elle a condamné les présidents américains successifs pour faire à peu près rien quand il est venu à appeler un génocide.

Maintenant qu'elle est une partie réelle d'une administration qui refuse de reconnaître le génocide, peut-elle parler? At-elle contestée président Obama à propos de ses promesses non tenues sur l'Arménie? T-elle faire pression sur l'administration de faire la bonne chose, ou risquent de devenir partie de la même «problème de l'enfer" pour ne pas faire face à un génocide?

Les prochaines semaines, comme le centenaire est commémoré, seront dire.

En dernière analyse, ce est le président Obama lui-même qui a dit en 2008 que «l'Amérique mérite un dirigeant qui parle vrai sur le génocide arménien et répond avec force à tous les génocides. Je ai l'intention d'être ce président. "Les intentions sont sans signification. L'action est tout. Gardez votre mot, Monsieur le Président. Plus de 1,5 millions de victimes attendent.

Shmuley Boteach, "l'Amérique Rabbi" dont le Washington Post appelle «le plus célèbre rabbin en Amérique," est l'internationale auteur de best-seller de 30 livres, dont The Man Fed-up de la Foi: Défier Dieu dans le visage de la tragédie et la souffrance . Suivez-le sur Twitter @ RabbiShmuley.